A ma femme

Toi, ma femme que j'aime, que je désire

Sais tu Ô combien, j'aime le soir venu

Passer ma main sous tes vêtements si soyeux

Découvrir, ton corps enveloppé dans de doux apparats

Je désire que tu sois mon jouet, comme je désire être le tien

Et je serai le fouet que tu n'as jamais connu

Je veux t'entendre dire ce que tu attends de moi

De tes envies dans l'instant

Je désire être ta maitresse, afin que tu m'obéisses

Je désir être la complice des ans

Je désire que tu sois l'esclave de mes émois

Oses prendre de moi, ce qui nous uniras